A propos de la noix de coco

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Noix de coco sèches tombées du cocotier (non encore épluchées).

La pulpe de la noix de coco est riche en matière grasse.
En la râpant et en la pressant, on en extrait le lait de coco qui entre dans de nombreuses préparations sucrées et salées.

Coco sec (droits réservés)

Une bonne noix de coco sèche ne doit pas être fêlée et contenir encore un peu d'eau (qu'on entend en secouant la noix).

Pour l'ouvrir : d'abord, à l'aide d'un couteau pointu, il faut percer un ou deux des trois "yeux" qu'elle possède sur le dessus et faire couler l'eau, ensuite, à l'aide d'un marteau, casser la noix en plusieurs morceaux.

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Pour pouvoir utiliser l'épaisse chair de la noix, il faut la décoller (en créole : décocoter) à l'aide d'un couteau de l'écorce dure de la noix. Reste ensuite une fine peau brune collée à la chair blanche qu'il faut également retirer. Cette dernière opération peut se faire à l'aide d'un couteau économe.

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Les morceaux de chair de coco, une fois lavés, peuvent enfin être râpés ou passés à la centrifugeuse selon l'utilisation.

Il faut souvent plus d'une noix de coco pour réaliser certaines recettes (sorbet, mont-blanc, confiture, doucelettes, ...) et la récupération de la chair est une tâche longue et un peu fastidieuse qui ne peut être réalisée qu'à la main.

On comprend alors la ménagère qui, pour gagner du temps, utilise le lait de coco vendu en conserve ainsi que la pulpe râpée et séchée vendue en barquette.

Mais rien ne vaut un bon coco sec !